Une architecture participative
Aujourd’hui, c’est l’occasion de communiquer autour de projets écosystémiques, participatifs, innovants, esthétiques et reproductibles.
Car ces derniers sont à l’origine de nombreuses problématiques environnementales :
- Stop à la livraison de bâtiment où l’utilisateur n’est pas content !
- Stop aux responsabilités unilatérales !
- Oui à la co-construction
- Et ce, peu importe le programme : usines, écoles, logements, projets urbains, bureaux, réhabilitation…
Logements participatifs ABRICOOP
Architecture Participative : Co-construire l’Harmonie et la Confiance
Le principe de l’architecture participative, est de faire en sorte que les habitants-utilisateurs ne découvrent pas leur projet lors de la réception du bâtiment.
Ainsi, ils participent avec implication à l’identification des contraintes, risques, bénéfices et ambiances du projet. Cette approche limite les frustrations et les incompréhensions, et renforce le sentiment légitime de participer activement à un projet commun où les décisions ont été prises de manières consensuelles.
L’architecte (et/ou ingénieur / AMU / paysagiste) n’est plus identifié comme le concepteur de son « œuvre » mais comme un acteur qui a tout mis en œuvre pour répondre au projet et aux besoins.
La co-construction n’est pas un moyen de déresponsabiliser le professionnel, mais bien au contraire de le mettre au cœur de sa mission, en répondant aux besoins des usagers tout en imaginant des espaces « sur-mesure », évolutifs, beaux, durables… Aussi, les rapports humains et les échanges sont constructifs et apportent de la bienveillance qui encourage à un investissement maximal de chacun, pour répondre aux diverses problématiques rencontrées.
Même après la livraison, les rapports sont excellents car ils ont été établis dans une confiance mutuelle, de respect et d’entraide. Le métier exercé dans ces conditions prend une tout autre dimension et anime de nombreux moments de félicité, malgré une profession extrêmement éprouvante.
